Une nouvelle fraude voulue
par la Turquie consisterait à substituer les pièces
de 2 Euros par des pièces de 1 Lire Turque lors des rendus
de monnaie, en raison de leurs ressemblances.
Depuis le 1er janvier 2005, la Turquie a une
nouvelle monnaie, la "nouvelle lire turque" (Yeni
Turk Lirasi), qui remplace l'ancienne lire hyperdévaluée,
à laquelle on a enlevé pas moins de six zéros.
Lorsqu'on regarde la nouvelle pièce de 1 lire,
on s'aperçoit aussitôt qu'elle ressemble étrangement
à la pièce de 2 euros. Si on compare ces deux
pièces, on constate qu'elles ont exactement la
même apparence (un anneau de nickel entourant
la partie centrale en cuivre) et exactement la
même dimension. De même, le côté face comporte,
comme beaucoup d'euros, une tête (il s'agit ici
d'Ataturk, comme les euros nous montrent le roi
d'Espagne, le roi des Belges, Dante, etc.). La
seule différence est qu'à la place du 2 de deux
euros il y a un 1. Et encore peut-on remarquer
que ce 1 est graphiquement très proche du 1 de
la pièce de 1 euro. Cette pièce d'une lire turque
est donc manifestement une contrefaçon de la pièce
de deux euros. Or elle vaut 0,4 euro (et en France,
en réalité, elle ne vaut rien du tout). Elle permet
donc de rendre la monnaie, dans toute la zone
euro, en faisant de substantiels bénéfices, et
de se servir des automates sans se ruiner. C'est-à-dire
de voler les consommateurs et les organismes que
l'on paie par automates. A notre connaissance,
personne n'a encore dénoncé cette gigantesque
escroquerie, montée par un pays que l'Union européenne
veut accueillir en son sein, et qui fabrique déjà
sa fausse monnaie européenne. Pour l'heure, soyez
prudents, et vérifiez que lorsqu'on vous rend
des pièces de deux euros, il ne s'agit pas de
pièces d'une lire turque, car elles ont commencé
à circuler.
Info émanant du BFD PARIS (POLICE)
Depuis le 1er janvier 2005, la Turquie a une nouvelle
monnaie, la "nouvelle lire turque" (Yeni Turk
Lirasi), qui remplace l'ancienne lire hyper dévaluée,
à laquelle on a enlevé pas moins de six zéros.
Lorsqu'on regarde la nouvelle pièce de 1 lire,
on s'aperçoit aussitôt qu'elle ressemble étrangement
à la pièce de 2 euros. Si on compare ces deux
pièces, on constate qu'elles ont exactement la
même apparence (un anneau de nickel entourant
la partie centrale en cuivre) et quasiment la
même dimension. De même, le côté face comporte,
comme beaucoup d' euros, une tête (il s'agit ici
d'Ataturk, comme les euros nous montrent le roi
d'Espagne, le roi des Belges, Dante, etc.). La
seule différence est qu'à la place du 2 de deux
euros, il y a un 1. Et encore peut-on remarquer
que ce 1 est graphiquement très proche du 1 de
la pièce de 1 euro. Cette pièce d'une lire turque
est donc une habile contrefaçon juridiquement
inattaquable de la pièce de deux euros. Or elle
vaut 0,4 euro (et en France, en réalité, elle
ne vaut rien du tout). Elle permet donc de rendre
la monnaie, dans toute la zone euro, en faisant
de substantiels bénéfices. Pour l'heure, soyez
prudents, et vérifiez que lorsqu'on vous rend
des pièces de deux euros, il ne s'agit pas de
pièces d'une lire turque, car elles ont commencé
à circuler."