Une nouvelle drogue nommée
Burundanga serait utilisée pour agresser les femmes,
répandue sur des cartes de visite. Il faudrait faire
suivre l'alerte à tous vos contacts pour les informer.
Recommandations
Ignorer le message et ne pas le faire suivre afin de stopper sa diffusion en chaîne
Prévenir l'expéditeur du message et les éventuels co-destinataires de la supercherie
Explications
Cette prétendue
alerte est en réalité la traduction française
d'un hoax anglophone. Le Burundanga est une véritable
drogue également connue sous les noms de scopolamine
ou hyoscine, mais contrairement à ce qui est indiqué
dans le message en circulation cette drogue n'est pas nouvelle,
elle n'a pas d'odeur et son utilisation délictueuse reste
limitée à l'Amérique du Sud (dont la Colombie,
l'Argentine
ou la Bolivie
) : elle peut y être mélangée à l'alimentation
ou à la boisson, inhalée sur un mouchoir voire
soufflée en poudre au visage, mais le plus souvent dans
le but de dépouiller les victimes et non comme drogue
du viol, une thématique hélas bien connue des
hoax avec le Progesterex
ou le Parfum d'éther.
La scopolamine est par ailleurs aussi utilisée
en médecine, y compris sous forme de patchs.
Exemple
de messages
Dans une station service, un homme a approché
une dame qui était en train de remplir son réservoir.
Il lui a offert ses services en tant que peintre
et lui a laissé sa carte. Elle a accepté sa carte
pour faire preuve de bonne foi et est entrée dans
sa voiture. L'homme est alors entré dans une voiture
conduite par un autre monsieur. Alors qu'elle
s'apprêtait à quitter la station service, elle
a vu les hommes la suivre hors de la station en
même temps. Presque immédiatement, elle a commencé
à se sentir étourdie et ne pourrait pas attraper
son souffle. Elle a essayé d'ouvrir la fenêtre
et s'est rendu compte que l'odeur était sur sa
main, la même main qui a accepté la carte du monsieur
à la station service. Elle a alors noté que les
hommes étaient collés derrière sa voiture et a
senti qu'elle devait faire quelque chose à ce
moment. Elle est rentrée dans le premier stationnement
qu'elle a vu, a arrêté sa voiture et a commencé
à appuyer sur son klaxon à plusieurs reprises
pour appeler à l'aide. Les hommes se sont enfuis
loin d'elle mais la dame ne se sentait toujours
pas bien. C'est seulement après plusieurs minutes
qu'elle a pu finalement attraper son souffle.
Apparemment, il y avait une substance sur la carte
qui aurait pu sérieusemen t lui faire du tort.
Cette drogue s'appelle le BURUNDANGA et elle est
utilisée par des personnes qui souhaitent frapper
une victime afin de la voler ou de tirer profit
d'elle. Cette drogue est quatre fois plus dangereuse
que la drogue du viol et est transmissible sur
de simples cartes. Prenez garde et assurez-vous
de ne pas accepter des cartes d'un inconnu sur
la rue et d'autant plus si vous êtes seule. Ceci
s'applique à ceux qui font des visites à domicile
et qui vous glissent une carte quand elles offrent
leurs services. Merci de diffuser aussi largement
que possible, utilisez les bienfaits des nouvelles
technologies, ainsi nous éviterons peut être d’autres
agressions similaires.
Warning
Share with your sisters, daughters, nieces, mothers,
and female friends. This Incident has been confirmed.
A man came over and offered his services as a
painter to a female putting petrol in her car
and left his card. She said no ,but accepted his
card out of kindness and got in the car. The man
then got into a car driven by another gentleman.
As the lady left the service station, she saw
the men following her out of the station at the
same time. Almost immediately, she started to
feel dizzy and could not catch her breath. She
tried to open the window and realized that the
odor was on her hand; the same hand which accepted
the card from the gentleman at the service station.
She then noticed the men were immediately behind
her and she felt she needed to do something at
that moment. She drove into the first driveway
and began to honk her horn repeatedly to ask for
help. The men drove away but the lady still felt
pretty bad for several minutes after she could
finally catch her breath. Apparently, there was
a substance on the card that could have seriously
injured her.
This drug is called 'BURUNDANGA' and it is used
by people who wish to incapacitate a victim in
order to steal from or take advantage of them.
This drug is four times more dangerous than the
date rape drug and is transferable on simple cards.
So take heed and make sure you don't accept cards
at any given time alone or from someone on the
streets. This applies to those making house calls
and slipping you a card when they offer their
services .
PLEASE SEND THIS E-MAIL ALERT TO EVERY FEMALE
YOU KNOW